Dans une décision du 8 octobre 2024 (en pièce jointe), le tribunal administratif d’Orléans entérine le licenciement d’un superviseur de production, qui encadrait une trentaine de personnes, pour des faits paraissant d’une “gravité suffisante” au juge. L’employeur reprochait notamment au salarié d’avoir utilisé en 2019 la messagerie professionnelle d’une subordonnée de son service pour inviter 13 collègues féminines à une soirée échangiste.
Le salarié, qui était par ailleurs élu titulaire du CSE, contestait la rupture de son contrat de travail, mais celle-ci avait été autorisée par le ministère du travail à la demande de l’entreprise.
Cet article provient du site Editions Législatives - ActuEL RH